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Monthly Archives: mars 2013

VOTRE PEUPLE EST EN LIGNE !

RTBF | 26 mars 2013

 

Le président du Parti populaire (PP), Mischaël Modrikamen, a présenté mardi la nouvelle version numérique du journal gratuit « Le Peuple », après avoir remporté en justice le combat qui l’opposait à d’anciens journalistes du quotidien. « Nous avons voulu créer un média d’opinion en utilisant des moyens modernes », a-t-il indiqué

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Brussels Diplomatic | 26 march 2013

 BRUSSELS - Today, an exceptional event took place. As it seldom happens in the history of a country and in the history of newspapers, Mischaël MODRIKAMEN, a business lawyer launched with a team “LE PEUPLE” a daily newspaper wanting to “reinform” the belgian french-speaking public opinion. Le Peuple refers to a former socialist newspaper created in the XIXth century to break the monopolistic presence of catholic and liberal opinion newspapers. “LE PEUPLE” in between ceased to be published about 15 years ago.Today he wants also to break with the “political correctness” of the main belgian media.

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Modrikamen lance Le Peuple, journal conservateur

La Libre | 18 mars 2013

« La ligne éditoriale sera réformatrice, libérale et conservatrice sur les questions d’économie et de valeurs. » Après moult rebondissements et près de quinze ans de mise au placard, le journal d’opinion Le Peuple va renaître de ses cendres. La Cour d’appel de Bruxelles a rendu son arrêt mercredi et celui-ci donne raison à Mischaël Modrikamen, qui avait racheté la marque en octobre 2010, suscitant des vagues de protestations.

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Feu vert au nouveau "Peuple"

Le Vif.be  | 18 mars 2013

La cour d’appel de Bruxelles, dans un arrêt rendu mercredi, a donné raison à Mischaël Modrikamen confortant tous ses droits sur « la marque » Le Peuple. En conséquence, plus rien ne s’oppose au lancement par le président du Parti Populaire de son quotidien. Le nouveau « Le Peuple » sortira mardi prochain, 26 mars.

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Lire également : RTBF : Le nouveau Peuple de Modrikamen sera publié le 26 mars 

Quand il neige à Bruxelles, le soleil brille à Cannes !

Communiqué | 12 mars 2013

En ce jour de chaos hivernal sur nos routes, pas moins de sept ministres(!) régionaux et communautaires accompagnés de leurs collaborateurs techniques et de leurs chefs de cabinet, mais aussi quatre gouverneurs de Province, de nombreux bourgmestres (dont M Magnette, bourgmestre de Charleroi), échevins et représentants des intercommunales (tous PS, Ecolo et CDH) débarquent aujourd’hui à Cannes pour participer au Marché international des professionnels de l’immobilier (MIPIM).

Ce déplacement « collectif » au soleil du Midi coûtera certainement une centaine de milliers € aux contribuables wallons et bruxellois, en frais de transport et de logements dans les palaces locaux.

Nos ministres et autres édiles seraient donc devenus « des professionnels de l’immobilier », contraints de courir les cocktails et autres stands spécialisés de la Croisette. 

« Si l’on peut comprendre la volonté de rencontrer les acteurs internationaux et s’imprégner de ce qui se fait ailleurs, celà justifie-t-il le déplacement de l’équivalent de plusieurs équipes de football au grand complet ? », s’étonne Yasmine Dehaene, secrétaire générale du Parti Populaire. « Ne s’agit-il pas de ici de s’offrir une petite escapade collective en plein hiver peut être humainement  compréhensible, mais alors pas aux frais des citoyens ? » 

« Surtout, cette « proximité » de nos élus avec les promoteurs et autres architectes en vogue explique aussi le foisonnement de projets mégalomanes, coûteux à la construction et en entretien et souvent inadaptés, telles les gares de Liège et Mons conçues par M Calatrava. En Suisse, ce type d’initiatives inadaptées aux besoins réels des gens sont souvent stoppées par les citoyens grâce au référendum d’initiative populaire ». 

En ces temps de vaches maigres, de telles dépenses publiques ne profitent en outre que fort peu à notre économie et à l’emploi. Le coût exorbitant du travail local, le désintérêt des ouvriers belges pour la construction en raison d’un salaire poche dérisoire et une formation déficiente ont pour conséquence que, sur les grands (et petits) chantiers immobiliers à Bruxelles et en Wallonie, ce sont souvent des entreprises polonaises, françaises et espagnoles qui effectuent les travaux.

Entretemps, la Wallonie a connu une hausse des faillites de 20% et Bruxelles, une hausse de 33% sur les deux premiers mois de 2013, le secteur le plus touché étant justement celui de la construction avec une hausse de 43% !  »Quand il neige à Bruxelles, le soleil brille à Cannes », conclut-elle !

Belfius-ACW : la fin d'un système où les piliers ("standen") pillent les finances publiques

Communiqué | 6 mars 2013

La démission du ministre des finances marque, espérons-le, le début de la fin d’une époque : celle où les standen, les piliers des familles traditionnelles (socialiste, sociale-chrétienne et dans une moindre mesure libérale) profitaient allègrement des largesses de l’Etat, grâce à leurs relais politiques.

Le CDV en était le champion en Flandre, alors que le PS met toujours en coupe réglée la Wallonie.

Le cas de l’ACW/MOC au sein de BELFIUS/DEXIA est emblématique.

Rappelons d’abord que ARCOPAR et ARCOFIN  sont issus de la démutualisation de la banque coopérative BACOB devenue ARTESIA puis DEXIA fin des années ’90.  Alors que l’autre groupe coopératif CERA a été forcé par une action en justice  à redistribuer les plus values accumulées durant un siècle à ses coopérateurs, le MOC et l’ACW ont gardé pour eux les réserves accumulées par la BACOB et ce au détriment de leurs adhérents. Soit un a deux milliards € à l’époque. La structure initiale était donc basée sur une spoliation des membres de leur mouvance. Un péché originel assurément.  

Ces réserves spoliées se sont ensuite volatilisées dans le cadre de la débâcle de DEXIA, dont le MOC/ACW était un des actionnaires de contrôle et ses représentants, administrateurs. Ils en sont donc pleinement responsables. 

Les 800.000 coopérateurs d’ARCOPAR/ARCOFIN ont ensuite perdu leur capital, leur mise de départ, dans la fusion de DEXIA, imprudemment jouée par ARCOPAR/ARCOFIN dans le grand casino de la finance mondiale. L’Etat est alors venu au secours des coopérateurs en donnant une garantie proche du milliards d’€ à la demande des relais ACW au sein du gouvernement (et notamment M Leterme, …) alors que ces parts de coopérateurs ne pouvaient manifestement être assimilées à des dépôts bancaires. Une anomalie de plus. 

Dans le même temps, le même MOC/ACW continuait à négocier une rente se situation auprès de BELFIUS, entretemps nationalisée, au moyen du rachat de participations bénéficiaires, censées représenter un apport de clientèle. Cet apport n’existe plus, à l’heure actuelle, que dans l’imagination fertile, des représentants du MOC/ACW et la complaisance des banquiers de BELFIUS, aux ordres !  

« C’est donc un exemple typique de nationalisation des pertes et de privatisation des bénéfices », relève Mischaël Modrikamen, Président du PP. 

La responsabilité politique de M Vanackere et plus généralement du gouvernement est engagée !  Cette débâcle politique ouvre, on peut l’espérer, une époque où ces abus manifeste, ces relations incestueuses entre relais politiques, piliers des partis traditionnels et flux financiers quasi occultes, seront mises à jour et dénoncés et où il y sera mis fin.

Le grand nettoyage a commencé avec le monde coopératif mais devrait  se poursuivre avec les syndicats et les mutuelles », a-t-il conclu.  

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