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Monthly Archives: février 2012

Pourquoi le PP n'est pas un parti d'extrême-droite

27.02.2012 | NEWS 

 

A écouter à partir de 3:30

Intervention de Mischaël Modrikamen au Bar de l’Europe. Le président du PP demande à Manuel Abramowicz d’établir les critères de distinction entre les partis d’extrême-droite et les partis de rupture comme le Parti Populaire, la N-VA ou l’UDC suisse qui luttent pour maintenir les valeurs occidentales, notamment l’égalité hommes-femmes et qui luttent contre les excès de l’islamisme.

Conférence de presse du PP du 7 février 2012

7.02.2012 | COMMUNIQUE DE PRESSE 

Après avoir rappelé les vices rédhibitoires du gouvernement Di Rupo en matière institutionnelle, économique et d’immigration, M Modrikamen, président du Parti Populaire, a annoncé que son parti assignait la RTBF en référé devant le tribunal de première instance d’Anvers en vue de faire respecter l’obligation de pluralisme. Il a également appelé les élites politiques, économiques et médiatiques du Nord du Pays à soutenir les réformateurs wallons et à amplifier leurs revendications de renouveau.

Vous pouvez prendre connaissance du texte complet de la conférence de presse (PDF) ainsi que du projet d’assignation de la RTBF en référé en français (PDF) et néerlandais (PDF) .    

L'Etat et les entités publiques sont la vache à lait des partis traditionnels !

01.02.2012 | COMMUNIQUE DE PRESSE

Le PP rappelle que les partis politiques sont très généreusement financés par la dotation publique. Les partis traditionnels perçoivent entre 9 et 14 millions de dotations par an pour exercer leur missions, outre les milliers d’attachés parlementaires ou de groupe au sein des assemblées qui leur sont attribués et dont le salaire est pris en charge par l’Etat ou les Régions et Communautés. 

Tout avantage ou donation autre que ce - très généreux-  financement public prévu et autorisé par la loi, est strictement interdit lorsqu’il émane de personnes morales, y compris des entités publiques, telle la ville de Charleroi  (art. 16bis de la loi du 4 juillet 1989 sur le financement des partis) et est d’ailleurs sanctionné pénalement. 

Le fait que ce financement illicite soit prévu au budget de la ville de Charleroi, soit approuvé par la tutelle et se fasse donc au grand jour est indifférent. Ce serait même une circonstance aggravante qui témoigne du mépris des partis traditionnels pour les règles de droit. 

Le PP rappelle qu’il a été perquisitionné voici 18 mois par 25 enquêteurs et ses cadres interrogés pour, entre autres,  déterminer si 50 € issus de la vente de pins lors d’un meeting ou encore une donation de 250 € était bien reprise dans sa comptabilité.

Combien de temps, les citoyens accepteront-ils que les partis traditionnels pillent allègrement les ressources d’entités publiques lourdement endettées pour mieux en conserver le contrôle absolu ?

L’Etat ne doit pas être la vache à lait des partis !  

 

 

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